C’est à 43 que nous sommes partis du Mans en compagnie
de Guy notre chauffeur bien-aimé. Il nous a laissés à Bourges à l’heure
prévue malgré un petit retard au départ. Petit retard dû à notre très
sympathique mais néanmoins distraite « Petite Pointure » qui nous
attendait au lieu de rendez-vous de l’an passé ! On lui pardonne... pour cette fois-çi !
A minuit sonnant, le feu se met au vert et, tandis que
les 11 marcheurs partant de Morogues à 5h se reposent, nous nous élançons sur
les rues pavées de la vieille ville. Quelques Tasse-Cailloux font le forcing et
vont d’un train d’enfer jusqu’au ravito de St Michel de Volangis. Nous ne les
reverrons qu’à la cave de la Mignonne. D’autres marchent d’un bon pas
d’Audacieux mais se font doubler par moult personnes. Pour ne pas nous laisser
démoraliser par cette horde, nous nous disons : « Ils partent trop
vite ! Ils vont se fatiguer avant nous… » On se réconforte comme on
peut, n’est-ce pas ?
Après ce 1er ravito de St Michel, tout le
monde se calme car les choses sérieuses commencent avec le 1er
passage boueux… Et là, surprise ! Contrairement à ce que nous imaginions,
c’est moins difficile que l’année dernière. Oh, certes, ça glisse bien quand
même ! D’ailleurs, j’en connais un qui a fait un superbe atterrissage sur
le ventre. Un peu, comment dire, un peu comme l’atterrissage d’un albatros… la
même grâce… la même élégance…. J’en ris encore ! Heureusement la boue est
douce !
La nuit est un peu brumeuse et froide. Hors des
passages de boue, il faut faire attention car le bitume est parfois glissant. Le
chapelet de gilets jaunes et de lampes frontales s’étale de plus en plus. Après
Humbligny, le jour se lève et le soleil tente de percer. Le paysage est
magnifique, les arbustes, avec leurs gouttelettes gelées, ont l’air serti d’une
multitude de diamants !
Les côtes s’accentuent de plus en plus mais nous les connaissons bien maintenant. Nous savons aussi qu’après le dernier ravito, il y a encore la côte mythique de Bué. Difficile à monter mais encore plus difficile à descendre. Mais surprise ! Cette année, nous n’y passons pas car elle est impraticable ! On ne s’en plaint pas !
Nous arrivons enfin dans les Caves de la Mignonne où les copains plus rapides sont là pour nous accueillir. A ce moment, nous apprenons la terrible nouvelle : Joël… Joël qui depuis 24 ans n’a raté aucun BS, s’est fait battre par François (dit l’Gamin) d’une vingtaine de minutes (arrivé à 9h10) ! Nous restons ébahis par la nouvelle ! Moi, il m’a fallu 3 h de plus mais, malgré tout, on se félicite, on se congratule et nous allons vite chercher notre petit verre de Sancerre bien mérité ! Nous restons pour la remise des récompenses. Nous rapportons, comme les autres années, les coupes de la ville de Bourges attribuées au groupe qui totalise les plus grand nombre de points (distance en km multiplié par le nb de participants). Il y a une coupe pour le club et l’autre est pour une féminine du club.
Dans le car, avant qu’ils ne s’endorment, nous remettons une des coupes à François pour avoir « battu » Joël et l’autre à Anne qui malgré son abandon de l’an passé ne s’est pas découragée et a récidivé cette fois avec succès !
Bravo à tous… bravo à ceux qui faisaient leur 1er BS ou MS… bravo aussi à ceux qui ont été obligé d’arrêter en route (ce n’est pas toujours une décision facile à prendre). Si vous avez aimé cette sortie, n’hésitez pas à en parler autour de vous. C’est une rando qu’il faut faire au moins une fois et lorsqu’on l’a fait une fois… on la refait car elle est à chaque fois différente même si le parcours est quasiment le même ! C’est difficile mais c’est aussi du bonheur ! Any
Les côtes s’accentuent de plus en plus mais nous les connaissons bien maintenant. Nous savons aussi qu’après le dernier ravito, il y a encore la côte mythique de Bué. Difficile à monter mais encore plus difficile à descendre. Mais surprise ! Cette année, nous n’y passons pas car elle est impraticable ! On ne s’en plaint pas !
Nous arrivons enfin dans les Caves de la Mignonne où les copains plus rapides sont là pour nous accueillir. A ce moment, nous apprenons la terrible nouvelle : Joël… Joël qui depuis 24 ans n’a raté aucun BS, s’est fait battre par François (dit l’Gamin) d’une vingtaine de minutes (arrivé à 9h10) ! Nous restons ébahis par la nouvelle ! Moi, il m’a fallu 3 h de plus mais, malgré tout, on se félicite, on se congratule et nous allons vite chercher notre petit verre de Sancerre bien mérité ! Nous restons pour la remise des récompenses. Nous rapportons, comme les autres années, les coupes de la ville de Bourges attribuées au groupe qui totalise les plus grand nombre de points (distance en km multiplié par le nb de participants). Il y a une coupe pour le club et l’autre est pour une féminine du club.
Dans le car, avant qu’ils ne s’endorment, nous remettons une des coupes à François pour avoir « battu » Joël et l’autre à Anne qui malgré son abandon de l’an passé ne s’est pas découragée et a récidivé cette fois avec succès !
Bravo à tous… bravo à ceux qui faisaient leur 1er BS ou MS… bravo aussi à ceux qui ont été obligé d’arrêter en route (ce n’est pas toujours une décision facile à prendre). Si vous avez aimé cette sortie, n’hésitez pas à en parler autour de vous. C’est une rando qu’il faut faire au moins une fois et lorsqu’on l’a fait une fois… on la refait car elle est à chaque fois différente même si le parcours est quasiment le même ! C’est difficile mais c’est aussi du bonheur ! Any
