À bout de force, les mollets en compote et les jambes vacillantes, les marcheurs sont arrivés en masse entre 9 et 10 heures.
Pour habiller leur carnet de route du tout dernier tampon, coureurs et marcheurs ont poursuivi leur chemin jusqu’aux tant attendues caves de la Mignonne, où un verre de sancerre, tout aussi attendu, a réchauffé les esprits satisfaits du challenge relevé. « Il y avait beaucoup de boue et de brouillard. C’est dommage car on ne voit pas l’arrivée sur Sancerre. Mais je suis heureuse d’être arrivée », déclarait Nelly, encore toute pimpante, et qui ne comptait pas aller se coucher. Pour elle, c’était juste une mise en jambe.
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